Le blog de anne.lesonneur.over-blog.com
Un champ où tout se cultive au gré des humeurs.
Une s ource de tendresse pour Théodore Monod Franchir franchir le pas le pas d’une porte le pas de soi oser cet instant cette porte cette main d’un café au-delà de toute timidité oser dans ces boulevards parisiens un ailleurs et passer le pas le regard...
A quoi songent les corneilles blotties dans l’hiver perchées sur un banc parfois posées sur l’unique patte le regard tendu vers le ciel ou le sol en quête d’une miette de pain ou de soleil à quoi songent les corneilles blotties dans nos hivers ? ©Anne...
Pour ta communauté Hauteclaire, Entre ombre et lumière, l’hiver… Brume surgissant l’arbre se penche vers elle branches d’écoute La brindille se redresse là, simplement, vivante ©Anne L S
Pour lui, Ada , pour toi, Un regard un silence une présence un accueil au-delà de toute timidité si réciproque un échange sans un mot un partage en chaque geste Dans tes yeux l’arbre la racine la brindille l’être la fragilité ta fragilité et la force...
Que fabriques-tu ? Aurais-tu perdu quelque chose ? Oh non, la boîte est bien là, à l’abri sous mes ailes Mais alors que fais-tu ? Je me cache. J’aperçois là-bas la Dame qui s’est débattue avec son lutin qui aura tout donné houspillant le facteur s'acharnant...
Un regard, un silence et tes mots... En picorant le sol j'ai fait jaillir la source Erato
Pour le jeudi des Croqueurs L’enfant courait après la lune guettait son regard suivait son sourire cueillait sa lumière si discrète si seule jusqu’à ce soir d’obscurité elle n’était pas là Alors l’enfant s’assit contre l’arbre osa un dernier coup d’œil...
Pour toi, Ada Cèdre du liban, buttes Chaumont C’était un matin c’était un soir le temps d’un murmure celui du silence La lune flottait à peine les branches, au loin, légères, bruissaient tout semblait étonnamment sombre et doux Un petit corps allongé...