L'une de mes sculptures préférées : par sa miniature et sa précision, par la douceur de la matière (mélange d'onyx et de bronze), par cette scène réaliste, ces regards tendus, de dos ou de profil, la délicatesse de la main pour que les mots ne s'échappent pas trop loin... Et quels mots ? Que raconte cette femme ?
Alors, Chut ! Silence pour entendre, complice, ou pour ne pas dire ?
Camille Claudel, les Causeuses, onyx et bronze, 1897, Musée Rodin.